Dans les années 1950, les voitures Austin étaient prisées à l’étranger en raison de leur réputation de fiabilité et de leur caractère jeune et dynamique.
Cependant, selon une analyse neutre du journaliste suisse Robert Braunschweig, l’industrie britannique a commencé à être dépassée par la concurrence allemande, française et italienne en termes d’exportations de voitures.
Les constructeurs britanniques ont été confrontés à des défis en termes de qualité et de durabilité de leurs véhicules par rapport à leurs homologues étrangers.
Malgré des progrès récents dans l’amélioration des moteurs et des équipements intérieurs, les voitures britanniques sont mieux adaptées à la conduite sur leurs routes d’origine que dans d’autres pays.