La Chine montre un intérêt croissant pour les usines Volkswagen en Europe, notamment celles qui sont sur le point de fermer en Allemagne.
Les constructeurs asiatiques voient dans cette opportunité une possibilité de renforcer leur présence sur le marché européen, en contournant les nouvelles taxes d’importation sur les véhicules chinois.
Jusqu’à présent, les constructeurs chinois construisaient généralement de nouvelles usines, mais l’achat d’usines existantes devient de plus en plus envisageable, comme le montrent les rumeurs concernant des marques telles que NIO et Audi à Bruxelles.Volkswagen et les syndicats allemands étudient attentivement les propositions émanant de la Chine.
La vente des usines menacées pourrait rapporter entre 100 et 300 millions d’euros, mais les décisions finales dépendront également des autres plans du groupe pour ces installations et de l’influence du nouveau gouvernement allemand.
Le vote aura lieu le 23 février, et il est envisageable que des coentreprises avec des partenaires chinois puissent être envisagées, tout en respectant les normes et le logo de Volkswagen.