Ce nouvel organisme s’efforcera de relever les défis liés à la demande croissante en énergie pour soutenir les infrastructures de calcul nécessaires à l’IA, tout en attirant des investissements privés et en créant des emplois locaux.
En s’appuyant sur des membres diversifiés tels que Google, Microsoft et Amazon, le Conseil vise à promouvoir une collaboration multisectorielle pour accélérer le développement technologique et énergétique du pays.Parallèlement à la création du Conseil, le gouvernement britannique travaille en étroite collaboration avec Ofgem et NESO pour apporter des réformes au processus de connexion au réseau.
Ces changements pourraient débloquer une importante capacité en attente, notamment pour les nouveaux centres de données méga nécessitant une énergie à grande échelle.
En simplifiant les procédures d’autorisation et en favorisant un accès rapide aux infrastructures modernes, le Royaume-Uni cherche à renforcer son approvisionnement énergétique et à stimuler les investissements dans les technologies de pointe.
Ces initiatives font partie d’une stratégie nationale visant à connecter davantage de capacité renouvelable au réseau d’ici 2030, témoignant de l’engagement du pays en faveur d’une croissance durable et numérique.