Récemment, j’ai eu l’opportunité de jouer à ce jeu sur un PC haut de gamme.
Bien que je sois limité dans les détails que je peux révéler, ce que j’ai vu du jeu est déjà impressionnant, grâce principalement à la technologie IDTech 8.
Le moteur du jeu, déjà utilisé avec succès dans Indiana Jones de Machine Games, confère à DOOM: The Dark Ages des graphismes extrêmement réalistes.
Le jeu intègre des éléments de lumière naturelle performants grâce à la réflexion en temps réel et à l’illumination globale en temps réel, rendant l’éclairage plus précis et les environnements plus immersifs.
De plus, les améliorations apportées aux éléments destructibles ajoutent une nouvelle dimension à l’environnement de jeu, permettant des interactions plus dynamiques et réalistes.Au-delà des graphismes, le gameplay a également connu une évolution notable par rapport aux précédents s DOOM.
Les combats sont fluidifiés, permettant une progression plus rapide et dynamique.
Les mécanismes traditionnels tels que les « killings de gloire » et les munitions récupérées via la tronçonneuse ont été raffinés, offrant une expérience de jeu plus fluide sans interrompre l’action.
Des changements dans la gestion des combats et des armes, tels que l’ d’un système de bouclier versatile, enrichissent l’expérience de combat.
De nouveaux modes de jeu, incluant des missions de mech et des vols de dragon, promettent de varier l’expérience tout en soutenant une histoire qui semble être plus présente que dans les s précédents.
Malgré quelques réserves mineures concernant certains éléments de design, DOOM: The Dark Ages se présente comme une avancée significative pour la franchise, avec des promesses de combiner le meilleur des aspects classiques et modernes de DOOM.