L’auteur Robert Scucci exprime son aversion pour la nostalgie dans son article sur le film Y2K de l’A24.
Il explique que revisiter le passé à travers des lunettes roses peut briser l’illusion de la simplicité et de l’insouciance de l’enfance.
Le film est décrit comme une bombe nucléaire de nostalgie inutile et impitoyable dans sa conscience de soi, se moquant du public tout en se révélant profondément idiot.Y2K est présenté comme une lettre d’amour consciente de soi à la nostalgie des années 90, conçue pour ceux qui détestent ce genre de chose.
L’article souligne l’aspect exagéré et ridicule du film, le qualifiant de stupide mais satisfaisant pour ceux qui apprécient l’humour rétro-futuriste.
Alors que certains peuvent adorer le film pour son côté absurde, d’autres peuvent le détester pour sa nature exagérée.
En fin de compte, Y2K est décrit comme un film qui ne cherche pas à être autre chose qu’une comédie exagérée et stupide, mais qui réussit à divertir ceux qui y adhèrent.