Cette exoplanète gravite autour de K2-18, une étoile naine fraîche, dans ce que l’on nomme la zone habitable, une région où les conditions pourraient potentiellement permettre l’existence d’eau liquide – et donc de la vie telle que nous la connaissons.
Récemment, des observations effectuées avec le télescope spatial James Webb de la NASA ont révélé des indices fascinants sur la composition atmosphérique de K2-18b, incluant la détection de molécules de carbone telles que le méthane et le dioxyde de carbone.
L’absence remarquée d’ammoniac et la présence notable de ces molécules de carbone suggèrent l’hypothèse d’un océan d’eau sous une atmosphère riche en hydrogène, renforçant l’idée que K2-18b pourrait abriter des conditions favorables à la vie.Parallèlement à la découverte passionnante sur K2-18b, d’autres recherches scientifiques récentes révèlent des faits intéressants sur notre compréhension de la vie sur Terre et au-delà.
Par exemple, le rover Curiosity, sur Mars, a identifié d’importants dépôts de carbone, pointant vers un possible cycle du carbone dans un passé lointain de la planète rouge.
Cette découverte soulève des questions intrigantes sur l’histoire climatique et biologique de Mars.
Sur un autre front, des études sur la domestication des chats indiquent qu’ils pourraient avoir commencé à être domestiqués en chassant à l’origine en Tunisie.
En Europe, des chercheurs du Michigan ont exploré les adaptations de l’Homo Sapiens face aux changements du champ magnétique terrestre il y a 41 000 ans, en suggérant que nos ancêtres pourraient s’être protégés des radiations solaires grâce à l’usage de vêtements, abris et même un type primitif de crème solaire.
Ces recherches diverses non seulement enrichissent notre compréhension du passé de la Terre et des autres planètes mais ouvrent également de nouvelles perspectives sur la façon dont la vie peut s’adapter ou s’est adaptée sous diverses conditions environnementales et climatiques.