Le CEO, Vigna, a indiqué que Ferrari continuera de proposer des modèles à combustion, hybrides et électriques, mais que la répartition des ventes ne sera pas déterminée par des objectifs, mais plutôt par la demande des clients.
Il a souligné l’importance de comprendre les désirs des consommateurs, affirmant qu’il s’agit d’une approche respectueuse, loin de la simple prévision des ventes.
De plus, l’intégration de l’électronique dans le processus de production permettra à Ferrari de réduire les délais de développement et d’accroître la personnalisation de ses modèles.
Ce changement est aligné sur l’objectif de l’entreprise d’améliorer la qualité de ses revenus.
En fabriquant en interne des composants électriques, comme les moteurs et batteries, Ferrari vise à se démarquer de ses concurrents dans le segment des voitures électriques, tout en s’assurant de la continuité de sa gamme.
Vigna a également mentionné que les batteries LFP ne conviennent pas à l’image de Ferrari, laissant entendre qu’un autre type de technologie sera privilégié.