Cet accord est perçu comme un soulagement pour les exportateurs britanniques, qui avaient été menacés par l’imposition de tarifs stricts, suite à une annonce de Trump en mars, où il justifiait sa décision par un déséquilibre sur le marché automobile.
Environ 50 % des ventes de voitures aux États-Unis proviennent de l’importation, incluant des véhicules du Royaume-Uni.
Cet accord est particulièrement avantageux pour Jaguar Land Rover, qui considère les États-Unis comme son principal marché.
Son PDG, Adrian Mardell, a exprimé sa gratitude envers les gouvernements des deux pays pour cet engagement qui renforce la certitude dans le secteur automobile, soutenant ainsi 250 000 emplois au Royaume-Uni.
D’autres marques, comme Mini, bénéficieront également de cette initiative, bien que certains modèles, comme le Countryman SUV, restent soumis à des tarifs élevés en raison de leur fabrication en Allemagne.
Les négociations continuent entre l’UE et les États-Unis concernant ces tarifs.