Les changements visent principalement les hackers et ceux qui souhaitent émuler des jeux.
Désormais, enfreindre ces nouvelles règles peut rendre les services et appareils Nintendo inutilisables de manière permanente.
L’accord élargit la liste des actions interdites, notamment la distribution et la création d’œuvres dérivées, ciblant directement les développeurs d’émulateurs.
Pour les utilisateurs classiques, cette mise à jour n’aura pas un impact significatif, mais pour les amateurs de jailbreaking ou de modifications matérielles, les risques sont accrus.
Les nouvelles règles compliquent également les efforts de préservation des jeux, car toute tentative d’émulation sans autorisation explicite de Nintendo pourrait entraîner de graves répercussions.
En somme, cette mise à jour renforce le contrôle exercé par Nintendo sur son écosystème et limite les libertés des utilisateurs en matière de personnalisation et de préservation.