Il craint que des extrémistes et des États voyous comme la Corée du Nord, l’Iran et la Russie puissent exploiter les progrès rapides de l’IA pour causer des dommages, allant jusqu’à évoquer le scénario d’Oussama Ben Laden prenant le contrôle de la technologie pour nuire aux innocents.
Schmidt exhorte les gouvernements à surveiller de près les entreprises de technologie privées impliquées dans la recherche sur l’IA, soulignant la nécessité de trouver un équilibre entre réguler l’innovation et prévenir les abus.
Malgré les appels à une réglementation stricte de l’IA pour des raisons de sécurité nationale et mondiale, des divisions internationales persistent, avec des approches différentes adoptées par des acteurs clés tels que l’UE, les États-Unis et le Royaume-Uni.
Alors que certains défendent un cadre restrictif mettant l’accent sur la protection des consommateurs, d’autres privilégient des approches plus agiles axées sur l’innovation.
Schmidt met en garde contre une réglementation excessive qui pourrait nuire à la croissance de l’industrie de l’IA, soulignant que l’Europe risque de manquer des opportunités de leadership dans ce domaine crucial.