Contrairement à leurs concurrents, Nintendo s’éloigne de la course à la puissance technologique, se concentrant sur un processeur T239 très personnalisé basé sur l’architecture ARM Cortex A78C, qui offre une performance optimisée pour les développeurs.
Ce processeur comprend des caractéristiques comme des caches de différents niveaux et une gestion des ressources, laissant six cœurs disponibles pour les développeurs.
Sur le plan graphique, la Switch 2 utilise une architecture Ampère, offrant ainsi des capacités de traçage de rayons et la prise en charge de la technologie DLSS.
Avec 12 Go de mémoire totale, dont 9 Go disponibles pour les développeurs, cette mise à niveau par rapport à la Switch 1 vise à améliorer significativement les performances en matière de chargement et de gestion des ressources.
En complément, le système de stockage a été raffiné avec un moteur de décompression dédié, optimisant ainsi le traitement des jeux.
Au final, bien que les spécifications offrent un aperçu technique, l’expérience de jeu réelle sera déterminante pour évaluer les capacités de cette nouvelle console lors de sa sortie.