La récente annonce du gouvernement britannique concernant un accord avec les États-Unis pour réduire les tarifs douaniers impose un certain soulagement, bien que l’industrie automobile reste prudente.
Si un accord a été conclu pour abaisser les tarifs sur les voitures britanniques exportées vers les États-Unis de 27,5 % à 10 % pour un maximum de 100 000 véhicules par an, les incertitudes demeurent.
En effet, le langage de l’accord laisse entendre qu’il n’est pas encore finalisé et qu’il nécessitera une période de négociations pour clarifier les détails.
Cette absence de précision suscite des inquiétudes au sein de l’industrie, qui s’interroge sur l’impact réel de cet accord et sur sa mise en œuvre future.