L’auteur explore ce concept à travers divers jeux, notamment « La fiction divisée », qui se distingue par ses nombreuses mécaniques de déplacement, telles que des combinaisons d’ailes et des jet-skis.
Chaque niveau du jeu propose de nouvelles façons d’interagir avec l’environnement, permettant aux joueurs de vivre des expériences variées et dynamiques, allant de la grimpe à la glisse aquatique.
Ce focus sur le mouvement est particulièrement pertinent dans les jeux de plateforme, mais il s’étend également à d’autres genres, comme les jeux de rôle, où la vitesse et la fluidité de déplacement sont cruciales pour l’expérience de jeu.
L’auteur souligne que les capacités de mouvement dans des jeux comme « Clair Obscur: Expedition 33 » et « Doom: The Dark Ages » non seulement enrichissent le gameplay, mais permettent également aux joueurs d’éprouver une sensation d’évasion et de liberté.
Ces mécanismes de mouvement encouragent les joueurs à briser les règles établies du jeu, leur offrant une chance de ressentir un pouvoir qui dépasse les contraintes de la réalité.
En fin de compte, l’auteur plaide pour que les capacités basées sur le mouvement soient considérées comme essentielles à l’expérience de jeu, non seulement pour le défi qu’elles représentent, mais aussi pour le plaisir qu’elles procurent en permettant aux joueurs d’explorer de nouvelles manières de se déplacer et d’interagir avec leur environnement.