Cette approche soulève des questions sur la validité des affirmations de dé-extinction, car le simple fait de modifier quelques gènes ne reproduit pas l’intégralité de l’identité biologique d’une espèce disparue.
Les experts rappellent que la plupart des éléments génétiques du loup désastreux demeurent inconnus.
La question de ce qui constitue une espèce est complexe et controversée.
Les scientifiques utilisent différents concepts pour définir les espèces, que ce soit par la capacité de reproduction ou par l’histoire évolutive.
Ainsi, il existe un débat sur la qualification des animaux cultivés en laboratoire comme « vrais » loups désastreux.
De plus, de nouvelles idées, comme celle de la compatibilité mitonucléaire, suggèrent que l’appartenance à une espèce dépend de la coadaptation des génomes nucléaires et mitochondriaux.
En définitive, la dé-extinction ne se limite pas à l’apparence, mais requiert une compréhension approfondie des systèmes biologiques sous-jacents.
Recréer une espèce signifie restaurer des interactions complexes au sein de ses gènes, pas simplement assembler des traits physiques.Boostez votre boutique WooCommerce avec l'IA !
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