Le texte évoque la mélancolie liée à la fin de vie des consoles de jeux, parallèlement à la manière dont certaines machines comme les ordinateurs portables s’intègrent plus intimement dans notre quotidien.
L’auteur souligne l’attachement aux appareils, en évoquant des exemples personnels, comme un DS toujours prêt à être utilisé.
L’attente de la nouvelle console, le « Switch 2 », est impatiente et semble marquée par une douce nostalgie.
En parallèle, l’auteur partage son expérience de jeu avec « Burnout Paradise Remastered » sur la Nintendo Switch, mettant en avant la qualité de ce classique bien adapté au format portable.
Il exprime son appréciation pour la dynamique de jeu rapide et intense, ressentie comme une manière énergique de faire ses adieux à la console actuelle.
Le texte conclut sur l’idée que chaque fin ouvre la porte à de nouveaux débuts, tout en célébrant la sensation familière que le jeu et la console actuelle lui procurent.