En utilisant des simulations informatiques, ils ont modélisé ces organismes comme des chaînes de sphères, où chaque sphère agit selon des règles simples, sans connaissance de la position des autres.
Les résultats de leur étude révèlent qu’un contrôle décentralisé fondé sur des interactions locales permet à ces micro-organismes d’obtenir un mouvement collectif harmonisé.
Cette recherche offre des perspectives intéressantes qui vont au-delà de la biologie.
Elle ouvre la voie à la conception de structures artificielles, comme des nanobots, capables d’effectuer des tâches complexes avec une programmation basique.
Par exemple, ces nanobots pourraient être utilisés pour détecter des polluants ou pour administrer des médicaments de manière ciblée au sein du corps humain, illustrant ainsi comment des principes biologiques simples peuvent inspirer des avancées technologiques significatives.
Source: IA Tech news