Cependant, en y regardant de plus près, la qualité des matériaux est inégale, avec de nombreux plastiques durs qui nuisent à l’impression générale.
Contrairement à d’autres modèles Toyota, l’ergonomie et la construction ne sont pas à la hauteur, rendant certains éléments fragiles.
La position de conduite nécessite un réglage inconfortable du volant, et le tableau de bord manque de personnalisation, avec des graphiques datés et des informations essentielles comme le pourcentage de batterie absente.
Concernant l’espace, l’arrière offre une salle raisonnable mais se montre austère, tandis que le coffre, bien qu’aérodynamique, est décevant en termes de capacité.
L’infodivertissement, avec des écrans de 8 ou 12,3 pouces, est conçu de manière basique et souffre de problèmes, notamment avec le carplay sans fil.
Bien que l’interface soit intuitive, des lacunes persistent dans la navigation, et le système audio n’offre pas une expérience sonore équilibrée.
Dans l’ensemble, le BZ4X peine à justifier son prix de 50 000 £ comparé à ses concurrents.