La plupart des voitures VRS que j’ai essayées, qu’elles soient thermiques ou électriques, offrent une conduite confortable qui ne révèle guère leur ADN sportif.
Les sièges sont agréables et le bruit à vitesse de croisière est comparable à celui d’une voiture standard.
Équipées d’amortisseurs adaptatifs, elles assurent une conduite douce et relaxante.
De plus, même pour un modèle électrique, l’efficacité énergétique est satisfaisante, avec une autonomie réaliste de 270 miles sur des parcours variés.
Cependant, le plaisir de conduite reste limité.
Malgré ses 335 ch, la voiture ne parvient pas à offrir une expérience véritablement excitante, et la réponse de l’accélérateur est assez modérée.
Le système de régénération et la sensation de la pédale de frein manquent de cohérence, tandis que la direction à ratio variable se montre peu engageante.
Bien que la puissance soit concentrée à l’arrière, la dynamique se révèle trop prévisible, contribuant à un équilibre neutre sans grandes surprises.