Mike Hawes, représentant du secteur automobile, a également exprimé sa satisfaction, notant que cet accord soulageait une menace sérieuse pour les fabricants britanniques, leur permettant d’envisager l’avenir avec optimisme.
Cela représente un changement significatif par rapport aux mesures protectionnistes introduites par l’administration Trump, qui avaient pénalisé les importations automobiles.
Cet accord est particulièrement bénéfique pour des entreprises comme Jaguar Land Rover, qui exporte massivement vers les États-Unis.
Son PDG a souligné l’importance de l’industrie automobile pour l’économie britannique, tandis que Mini se réjouit également de cette décision, bien que certaines de ses modèles soient encore soumis à des tarifs.
Les négociations continuent entre l’UE et les États-Unis, notamment concernant l’Allemagne.