Les créateurs de ce type de contenu s’inquiètent des répercussions potentielles de cette législation, estimant qu’elle pourrait rendre leur travail plus périlleux et les contraindre à adopter des pratiques plus risquées.
En effet, la loi sanctionne des achats de contenu sexuel en ligne, qu’ils soient réalisés à distance ou non, avec des peines allant jusqu’à un an d’emprisonnement.
Cette mesure s’inscrit dans un mouvement plus large de restrictions concernant la pornographie numérique à travers l’Europe, où des réglementations similaires sont également en vigueur en France et aux États-Unis.
Des créateurs comme Amanda Breden soulignent que cette loi pourrait entraver leur liberté d’expression et affecter leur sécurité financière.
Ils craignent que des plateformes telles qu’OnlyFans décident de ne plus permettre aux créateurs suédois de travailler, par peur de poursuites judiciaires, les poussant ainsi vers des conditions de travail plus précaires.
Par ailleurs, des organisations de défense des droits des travailleurs du sexe s’inquiètent des implications de cette législation, notamment en ce qui concerne une surveillance accrue et une atteinte à la vie privée, soulevant des questions sur les conséquences potentielles à l’échelle européenne.
Source: IA Tech news