Le juge William Alsup a noté que cette pratique était « extrêmement transformatrice », ce qui permet à Anthropic de poursuivre ses recherches en intelligence artificielle sans entrave.
Cependant, cette décision n’est pas entièrement favorable à la société, car le juge a également rejeté sa requête de protection généralisée.
Il a souligné que le téléchargement massif de livres piratés pour créer une bibliothèque numérique constituait une infraction aux droits d’auteur.
L’affaire, engagée par des auteurs ayant accusé Anthropic de violer leurs droits, avance désormais vers une phase de procès pour déterminer les dommages-intérêts liés à l’usage de ces copies non autorisées.
Bien qu’Anthropic prenne acte de la décision concernant la fair use, elle conteste la question des copies piratées et examine les recours juridiques possibles.
Évaluée à 61,5 milliards de dollars et soutenue par Amazon, Anthropic cherche à se positionner comme un acteur responsable dans le domaine de l’intelligence artificielle.
Source: IA Tech news