Un groupe d’auteurs avait intenté une action en justice contre Meta, l’accusant d’utiliser leurs créations pour alimenter ses modèles d’IA.
Le juge de district américain, Vince Chhabria, a rejeté leur plainte, affirmant que les arguments avancés par les plaignants n’étaient pas convaincants, tout en clarifiant que l’utilisation d’œuvres protégées peut ne pas être légale dans tous les contextes.
Dans une affaire distincte, le juge William Alsup a décrété qu’Anthropic n’avait pas enfreint la loi, mais a également noté que l’entreprise devait rendre des comptes sur l’achat de livres issus de sites de piratage.
Néanmoins, il a reconnu que le processus d’apprentissage de l’IA, basé sur l’extraction de passages de multiples ouvrages, pourrait être interprété comme une « utilisation équitable » selon la législation américaine sur les droits d’auteur.
Les livres demeurent essentiels pour le perfectionnement des modèles linguistiques avancés, incitant les entreprises à explorer diverses méthodes, parfois illégales, pour accéder à ces matériaux.
L’article sur les jugements en faveur de Meta et Anthropic a été publié initialement sur IA Tech News, une source d’information sur l’évolution de la technologie et de l’IA.
Source: IA Tech news