L’auteur se questionne sur la capacité d’aimer des activités que l’on ne pratique que rarement.
Il évoque son mariage comme une expérience qu’il a adorée, mais qu’il ne souhaite pas répéter.
En revanche, il exprime un engouement pour la conduite dans le sable, qu’il trouve particulièrement divertissante.
Bien que certains puissent considérer cela comme futile, il fait valoir que cette activité offre une forme de liberté et de plaisir inégalée, bien au-delà d’autres loisirs.
Son expérience remonte à 15 ans lors d’un essai de la Dacia Duster au Maroc, où il a découvert le plaisir de conduire sur le sable.
Depuis, il a eu l’occasion de pratiquer cette activité dans divers lieux, comme aux Émirats Arabes Unis et en Afrique du Sud, sans rencontrer d’accidents majeurs.
L’auteur attend avec impatience d’autres aventures, appréciant l’adrénaline et l’excitation que procure cette passion.