Des expériences menées avec divers animaux, comme des singes, des pigeons et même des poissons, montrent qu’ils peuvent comprendre les relations de classement, un processus cognitif complexe.
Par exemple, si un animal apprend qu’A est meilleur que B et que B est meilleur que C, il peut déduire que A est aussi meilleur que C, même sans avoir vu A et C ensemble.
Les chercheurs testent cette capacité en récompensant les animaux pour leurs choix dans des associations d’images, démontrant ainsi que plusieurs espèces possèdent une forme d’inférence transitive.
Cependant, il existe des nuances dans les types de raisonnement, notamment la transitivité, qui se concentre sur l’équivalence plutôt que sur le classement.
Les animaux qui réussissent une tâche d’inférence transitive peuvent échouer à la transitivité, suggérant que ces processus ne mesurent pas nécessairement la même capacité cognitive.
Ces distinctions sont cruciales non seulement pour comprendre les capacités animales, mais aussi pour les implications que cela a sur l’étude du raisonnement chez les humains, notamment dans des contextes cliniques ou psychologiques.
En somme, les recherches en cours cherchent à élucider comment différents types de raisonnement sont perçus et mesurés, tant chez les animaux que chez les humains.Boostez votre boutique WooCommerce avec l'IA !
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