En se concentrant sur trois secteurs majeurs—la production d’électricité, l’élevage et les transports—l’IA pourrait réduire les émissions de 3,2 à 5,4 milliards de tonnes par an d’ici 2035, surpassant largement les émissions générées par son propre usage.
Les chercheurs encouragent à voir la transition vers une économie à zéro émission non pas comme un fardeau, mais comme une opportunité pour l’innovation et une croissance économique durable.
L’IA pourrait rendre des systèmes complexes plus efficaces, favoriser la découverte de nouvelles technologies et aider à définir des choix quotidiens qui réduisent les émissions.
Par exemple, des outils comme DeepMind améliorent l’efficacité énergétique, tandis que des algorithmes d’IA pourraient influencer positivement nos décisions d’achat et de transport.
Les auteurs soulignent également que pour tirer pleinement parti de ces technologies, une régulation judicieuse et des incitations à la recherche sur l’IA verte sont nécessaires.
En guidant le développement de l’IA, les gouvernements peuvent assurer une transition équitable et durable vers un avenir où tant les individus que la planète prospèrent.