Ces sociétés craignent que le respect de cette réglementation ne compromette la compétitivité de l’Europe dans un secteur de l’IA en pleine transformation.
La législation, fondée sur une approche axée sur les risques, interdit certaines pratiques jugées inacceptables, comme la manipulation du comportement.
Elle identifie également des applications classées comme « haut risque », telles que celles intégrant des technologies biométriques, qui doivent se conformer à des conditions rigoureuses pour accéder au marché européen.
En revanche, les applications à « risque limité », comme les chatbots, sont soumises à des exigences de transparence plus légères, et l’application intégrale de ces règles est attendue d’ici la mi-2026.
Source: IA Tech news