En 1994, des technologies comme la direction assistée et le contrôle de traction ont été interdites, témoignant d’un changement vers des voitures plus « brutes ».
Il souligne que des modifications supplémentaires en 1998, telles que des dimensions de voitures réduites et des pneus rainurés, ont eu un impact significatif sur la performance, au point que les pilotes, comme lui-même, ont dû composer avec des compromis.
Coulthard constate que la F1 moderne, influencée par des considérations environnementales et une approche plus technique, diffère de l’époque où il a commencé.
Malgré ces changements, il retrouve une familiarité avec l’univers des circuits, notamment en visitant Pembrey pour soutenir son fils, Dayton, qui débute en compétition.
Il conclut en notant que la F1, tout en étant désormais partiellement motivée par des normes écologiques, reste avant tout une question de technologie et de vitesse.