À travers une étude publiée dans la revue Nature, utilisant des souris comme modèle, ils ont constaté que certaines cellules cérébrales s’organisent de manière spécifique, révélant à la fois des « sous-espaces neuronaux partagés » et des caractéristiques uniques.
Ces découvertes ouvrent de nouvelles perspectives pour comprendre des troubles sociaux tels que l’autisme, tout en contribuant à développer des IA plus empathiques et sensibles aux contextes sociaux.
Pour cette recherche, l’équipe a employé des techniques avancées d’imagerie cérébrale pour scruter l’activité neuronale des souris, tout en appliquant une méthodologie similaire pour analyser des agents d’IA, ce qui a permis d’identifier des parallèles significatifs.
Les résultats soulignent le rôle essentiel de certaines cellules, comme les neurones GABAergiques, dans la synchronisation des comportements sociaux.
En perturant ces dynamiques au sein des systèmes d’IA, les chercheurs ont observé une diminution notable des comportements sociaux, accentuant ainsi l’importance de ces modèles neuronaux dans les interactions.
Les prochaines étapes de cette recherche viseront à examiner des interactions sociales plus complexes et à évaluer l’impact de diverses perturbations sur les troubles sociaux.
Source: IA Tech news