Le texte aborde le décalage entre les aspirations artistiques et le gameplay accessible du jeu Ghost of Tsushima, ainsi que de sa suite, Ghost of Yōtei.
L’auteur souligne que Sucker Punch, le développeur, s’inspire d’influences cinématographiques japonaises, notamment d’Akira Kurosawa et de réalisateurs contemporains comme Takashi Miike et Shinichirō Watanabe.
Toutefois, l’auteur critique la manière dont ces hommages tentent d’ajouter de la profondeur au jeu, tout en restant des productions grand public destinées à un large public.
L’auteur exprime une affection personnelle pour ce type de culture, tout en reconnaissant une certaine hypocrisie dans sa critique.
Bien que le gameplay soit conventionnel et accessible, il questionne l’authenticité des intentions artistiques des développeurs, qui cherchent à se positionner comme de sérieux contributeurs au monde du jeu vidéo.
En conclusion, il incite Sucker Punch à embrasser pleinement sa nature divertissante sans chercher à atteindre des sommets artistiques, reflétant ainsi une tension entre divertissement et ambition narrative.
