Il évoque comment, depuis son enfance, il s’est appuyé sur les sous-s pour améliorer sa compréhension des dialogues.
Cependant, avec l’essor de l’IA, il note une augmentation des erreurs dans les sous-s, remettant en question l’implication humaine dans leur création.
Cela révèle un mépris potentiel pour les téléspectateurs sourds ou malentendants, soulignant que des entreprises privilégient la rapidité et le coût au détriment de l’exactitude.
L’auteur s’inquiète également des conséquences plus larges de la dépendance à l’IA, notamment l’acceptation d’un travail de moindre qualité, le doute sur l’implication humaine et la dilution des responsabilités.
Cette tendance risque de nuire non seulement à l’industrie cinématographique, mais également à d’autres aspects de la vie quotidienne, créant un modèle insoutenable.
Le problème des sous-s devient ainsi le reflet des enjeux plus graves liés à l’usage de l’IA dans notre société.