L’événement « Game On » a été marquant, notamment à cause d’un mur de témoignages de joueurs, dont un qui décrivait comment « Zelda » avait transformé son imagination en lui faisant voir des objets ordinaires comme des armes.
Cet aspect magique des jeux, où la frontière entre réalité et imagination s’efface, le touche encore aujourd’hui.
Récemment, il a ressenti une mélancolie en apprenant la finalisation du casting du nouveau film « Zelda », bien qu’il soit enthousiaste à l’idée que l’univers vidéoludique se développe au cinéma.
L’auteur souligne que « Zelda » est particulière parmi les créations de Nintendo, car elle semble plus personnelle et intime.
Il craint que l’adaptation cinématographique ne fige ces personnages dans des représentations visuelles qui pourraient limiter la connexion imaginative des joueurs avec eux.
Contrairement à des figures comme Batman, qui peuvent varier et se réinventer à travers le temps, Link est censé rester une figure accessible, représentant l’otage entre le joueur et le monde de Hyrule.
Ce pincement de tristesse provient d’une crainte que les futures adaptations ne laissent moins d’espace pour l’imagination personnelle que chaque joueur investit dans l’univers de « Zelda ».