Cette adhésion marque un tournant en tant que premier pays asiatique à intégrer ce programme majeur de recherche et d’innovation de l’Union Européenne, doté d’un budget de 93,5 milliards d’euros pour 2021-2027.
Annoncé par Ursula von der Leyen, cet accord pourrait ouvrir de nouvelles opportunités particulièrement pour le secteur automobile, favorisant les collaborations et l’innovation.
Bien que l’annonce n’évoque pas spécifiquement l’industrie automobile, l’inclusion de la Corée du Sud dans Horizon Europe permet d’envisager des projets conjoints portant sur les véhicules électriques, la conduite autonome et le recyclage des batteries.
Avant cette adhésion, certains chercheurs coréens participaient déjà à des projets sous des formes limitées, comme le projet MORAI, qui se consacre à la simulation pour la conduite autonome.
Cette initiative, impliquant 17 institutions internationales, démontre déjà le potentiel de coopération pour améliorer l’écosystème de la mobilité autonome tout en soutenant le développement de talents dans ce domaine.