L’auteur exprime son enthousiasme pour le jeu Donkey Kong Bananza, en soulignant que son bouton préféré sur le commutateur est celui de la capture d’écran.
Au fil de ses prises de vue, il note une tendance particulière : une série d’images explorant l’univers étrange et coloré du jeu, accompagné d’un phénomène appelé « clipping », où la caméra traverse des murs pour mieux cadrer l’action.
Cette manière de conceptualiser le jeu rappelle les débuts des jeux 3D, où les limitations de la technologie se manifestaient de manière visible, une caractéristique souvent dissimulée dans les jeux plus récents.
Cependant, Donkey Kong Bananza embrasse cette imperfection, permettant une liberté inédite au joueur.Ce qui frappe particulièrement, c’est la façon dont Nintendo a choisi d’abandonner certaines conventions pour donner au joueur plus de pouvoir et de liberté d’action.
Le jeu ignore les contraintes visuelles habituelles, acceptant que la caméra affiche des éléments de manière surprenante, voire dérangeante, mais avec l’intention que l’utilisateur puisse s’amuser sans limite.
L’auteur voit dans cette approche une célébration audacieuse de la créativité et de la fluidité, affirmant que le jeu démontre une confiance inébranlable de Nintendo dans son design.
En somme, Donkey Kong Bananza est perçu comme une œuvre audacieuse et excitante qui redéfinit l’expérience vidéoludique, tout en offrant un clin d’œil à la tradition ludique de la marque.