Ce jeu, le premier de la série en 3D depuis la Nintendo 64, permet aux joueurs de manipuler l’environnement de manière destructible.
Le mode coopératif offre à un second joueur la possibilité d’incarner Pauline, rendant le jeu accessible aux moins expérimentés.
Cependant, l’auteur note que sa fille ne se contente pas d’aider son frère, mais semble plutôt vouloir compliquer son expérience, ajoutant une dynamique amusante et chaotique à leurs sessions de jeu.
En analysant l’impact de ce mode coopératif, l’auteur conclut que malgré une intention initiale d’encourager la coopération, la réalité des interactions entre ses enfants a créé un environnement de jeu totalement unique.
Il met en lumière les forces de « Donkey Kong Bananza » en offrant une expérience qui semble à la fois divertissante pour les jeunes joueurs et engaging même pour les plus âgés, sans sacrifier la qualité du jeu solo.
En fin de compte, le jeu réussit à rassembler les joueurs autour d’une expérience ludique, tout en nourrissant le chaos familial.
