Bien qu’ils aient été perçus comme des consommateurs de viande, des études isotopiques des restes fossiles montrent que leurs niveaux d’azote-15 dans les os pourraient être augmentés par la consommation d’asticots, ces larves de mouches présentes sur les animaux en décomposition.
Ces asticots, riches en nutriments, pourraient expliquer la présence de protéines sans les risques d’empoisonnement aux protéines que l’on pourrait attendre d’un régime strictement carnivore.
Les pratiques alimentaires des Néandertaliens semblaient impliquer non seulement la consommation de viande, mais aussi de tissus animaux en décomposition et éventuellement d’asticots, ce qui enrichissait leur régime.
Des parallèles avec les cultures autochtones modernes montrent que ces populations valorisent les aliments même lorsqu’ils sont en décomposition, intégrant ainsi des sources nutritives variées.
De nombreuses questions restent néanmoins ouvertes, notamment sur la quantité d’asticots nécessaire pour justifier les niveaux élevés d’azote observés.
D’autres recherches seront nécessaires pour mieux comprendre ces pratiques culinaires ancestrales.Boostez votre boutique WooCommerce avec l'IA !
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