Cet accord implique un investissement de 550 milliards de dollars du Japon aux États-Unis, avec une promesse que 90% des bénéfices iront aux États-Unis.
Les tarifs douaniers sur les importations japonaises seront réduits de 25% à 15%, impactant particulièrement les produits agricoles et l’industrie automobile.
À la suite de cette annonce, des entreprises japonaises comme Honda, Nissan et Toyota ont connu d’importantes hausses de leurs actions en bourse.
Cependant, l’accord suscite des inquiétudes parmi les grands constructeurs automobiles américains.
Matt Blunt, président de l’American Automotive Policy Council, a souligné que les conditions de cet accord pourraient nuire à l’industrie américaine, car il favorise les importations japonaises par rapport aux véhicules fabriqués en Amérique du Nord.
Les constructeurs, notamment General Motors et Stellantis, commencent déjà à ressentir les effets des tarifs douaniers, indiquant des pertes financières significatives.
Alors que Trump continue de négocier avec d’autres marchés, des questions persistent quant aux conséquences à long terme de cet accord sur l’industrie automobile américaine.