Le joueur est captivé par la richesse de l’univers, avec une diversité accrue d’insectes et un environnement coloré propulsé par Unreal Engine 5.
La progression est marquée par de nouveaux défis, notamment la nécessité de ressources pour améliorer son équipement, ce qui rend l’exploration parfois pénible lorsque des ennemis puissants entravent la progression.
Les morts fréquentes et la perte de ressources ajoutent à la sensation de grind, provoquant une certaine impatience.
Cependant, « Mise à la Terre 2 » présente des innovations notables, comme un système de classes et des montures d’insectes, spécialement conçues pour améliorer la mobilité et rendre l’interaction avec le monde plus dynamique.
La complexité du gameplay, bien que souvent accablante, offre aux joueurs une variété d’options.
Le jeu semble être conçu pour une expérience multijoueur, où le travail d’équipe faciliterait la surmontée des obstacles.
En somme, bien que le jeu ait des aspects brillants, il nécessite encore du temps pour que le joueur puisse en apprécier pleinement la magie, notamment dans une dynamique collective.