Dans sa décision, Lord Robert Reed a précisé que les concessionnaires n’étaient pas coupables de malversations pour obtenir des commissions élevées, ce qui diminue les risques financiers pour les prêteurs en leur permettant de contester les futures réclamations des acheteurs.
L’affaire, qui a débuté avec des plaintes de trois clients dénonçant des accords de financement trompeurs, a soulevé des inquiétudes sur la manière dont les concessionnaires percevaient des commissions des prêteurs sans informer les acheteurs.
Cette décision met fin à des pratiques qui avaient été considérées comme problématiques, redéfinissant la relation entre les concessionnaires et les banques et renforçant la transparence dans les transactions financières liées à l’achat de véhicules.
De nombreuses institutions financières, comme Lloyds Bank, avaient anticipé ce jugement et pris des mesures pour se préparer aux conséquences potentielles.