Le texte aborde l’émergence des jeux coopératifs tels que Phasmophobia, Lethal Company et CULMINER, qui visent à créer des moments divertissants entre amis, souvent partagés en direct.
Ces jeux, bien que parfois éphémères et rapidement oubliés, peuvent propulser des développeurs indépendants vers le succès, notamment grâce à la viralité qu’ils génèrent.
Cependant, la prolifération de clones peu inspirés, souvent créés pour un profit rapide à l’aide d’IA, soulève des questions sur la qualité et l’originalité de ces nouveaux s.Malgré cela, les jeux comme Friendslop offrent une expérience sociale unique, permettant aux joueurs de partager des moments de plaisir et d’interaction, contrairement à des productions plus traditionnelles axées sur des modèles de service en direct.
Alors que l’industrie vide souvent les jeux de leur essence pour maximiser les revenus, le besoin de jeux centrés sur le divertissement et le fun collectif reste crucial.
L’auteur appelle à un débat sur la valeur de ces expériences ludiques et sur leur place dans un marché en constante évolution.