Drew Dietsch évoque ses préférences cinématographiques, notamment son goût pour les films de créatures aquatiques, soulignant une rareté de ces œuvres dans le paysage cinématographique actuel.
Il exprime son excitation pour le film norvégien Kraken, qui promet de revigorer le sous-genre de l’horreur écologique.
Bien que l’intrigue ne brille pas par son originalité, s’articulant autour de l’exploitation des ressources naturelles et de la vengeance de la nature, Dietsch se dit satisfait de retrouver des schémas narratifs familiers avec une approche esthétique soignée, typique des productions norvégiennes.Le film, dont la sortie est prévue en Norvège le 24 octobre, représente un espoir pour les amateurs de monstres marins dans un contexte où Hollywood semble dominer le genre.
Dietsch insiste sur la possibilité que Kraken propose une expérience cinématographique divertissante et engageante, comblant ainsi un vide dans le genre, tout en exprimant son impatience de découvrir ce que ce film a à offrir.