La nomination de PB Balaji, directeur financier expérimenté de Tata, en tant que PDG de Jaguar Land Rover (JLR) marquera les esprits, notamment en raison des commentaires inattendus de Donald Trump, qui a critiqué l’ex-PDG Adrian Mardell, le qualifiant de responsable de la « disgrâce » de la marque.
Balaji, le premier PDG indien de JLR, fait face à un défi de taille, surtout après une annonce de nomination rapide, signalant l’urgence de Tata de redresser la situation financière de sa filiale britannique, qui représente une part significative de ses revenus.
Les résultats financiers de JLR sont préoccupants, notamment en raison de la pénurie de véhicules et des risques liés à des hausses tarifaires aux États-Unis, entraînant un gel des exportations.
Parallèlement, les difficultés persistantes autour de la transition électrique de Jaguar pourraient aggraver la situation, avec des lancements de nouveaux modèles retardés par une demande incertaine sur le marché du luxe.