Drew Dietsch défend avec passion Jurassic Park III, souvent critiqué comme un mauvais film.
Il souligne que, contrairement à d’autres suites de la franchise, ce film revient à une narration plus simple et accessible, centrée sur une aventure d’enfant perdue sur Isla Sorna.
Cette approche a été perçue par certains comme une tentative de séduire un public plus jeune, mais Dietsch argue qu’elle permet une expérience cinématographique plus agréable et facile à revoir par rapport aux autres films, souvent jugés plus complexes.
Il évoque une scène mémorable où un Raptor parle à Alan Grant dans un rêve, qu’il considère comme à la fois absurde et thématiquement significative.
Dietsch conclut que bien que Jurassic Park III ne soit pas un chef-d’œuvre, il reste la meilleure suite de la franchise grâce à sa nature autonome et divertissante, offrant les plaisirs fondamentaux des aventures de dinosaures sans atteindre les ambitions élevées des précédents films.
