Les chercheurs associés, issus du Alan Turing Institute et d’autres institutions, soulignent que l’IA doit être perçue comme un vecteur culturel plutôt que comme une simple problématique mathématique.
Actuellement, l’IA souffre d’un manque de compréhension contextuelle et de nuance, reproduisant des biais et limitations omniprésents, ce qui peut avoir des conséquences sociétales néfastes.
Pour améliorer l’IA, l’équipe propose d’opter pour des systèmes capables d’interpréter l’information sous plusieurs angles tout en intégrant la complexité humaine.
Cela impliquerait la création de technologies d’interprétation qui favorisent la collaboration entre humains et IA, permettant de résoudre des problèmes majeurs dans des domaines tels que la santé ou le changement climatique.
Un appel à financement a été lancé pour unir des chercheurs britanniques et canadiens dans cette mission, soulignant l’urgence de construire des systèmes d’IA sûrs et fiables.