L’auteur commence par partager son expérience de porter un regard attentif au monde qui l’entoure, se concentrant sur des éléments souvent négligés comme les insectes, l’herbe, et les baies, ce qui lui rappelle la dynamique du jeu, où les joueurs, réduits à la taille d’insectes, doivent naviguer dans un jardin devenu un environnement vaste et périlleux.
Ce faisant, il s’interroge sur la possibilité de transposer cette expérience dans des contextes variés, y compris des régions du monde aux écosystèmes très différents.
L’auteur souligne que cette appréciation mutuelle entre le monde réel et l’univers du jeu nourrit son imaginative, illustrant comment même des environnements banals peuvent révéler une beauté cachée lorsqu’ils sont examinés de près.
Il établit un parallèle entre la création de mondes de fiction, souvent inspirés par notre propre réalité, et l’attrait de scénarios ancrés dans des settings familiers, tels que des récits se déroulant durant des périodes historiques spécifiques.
Ainsi, il conclut sur l’importance de considérer la magie du quotidien et comment des jeux comme « Grounded » peuvent éveiller notre curiosité pour le monde qui nous entoure.