L’horreur, tout comme la comédie, peut tirer parti de prémisses originales pour captiver le public.
Drew Dietsch souligne que peu de films d’horreur modernes explorent des concepts novateurs, malgré les nombreuses possibilités narratives offertes par le genre.
Il s’enthousiasme notamment pour Good Boy, qui raconte une histoire de maison hantée du point de vue d’un chien.
Le réalisateur Ben Leonberg utilise son propre chien, Indy, pour incarner un protagoniste cherchant à protéger son maître des dangers qu’il ne peut percevoir.
Contrairement à d’autres films qui recourent à des voix off ou à l’animation, Good Boy mise sur des performances authentiques d’Indy, augmentant ainsi son originalité dans un paysage cinématographique souvent dominé par des animations.Le concept de Good Boy, bien que simple, soulève la question de pourquoi une telle idée n’a pas été exploitée auparavant.
Dietsch apprécie l’aspect singulier du film et son potentiel à séduire un large public, notamment en raison de l’amour que les spectateurs portent aux chiens.
L’originalité de cette approche et la portée émotionnelle qu’elle génère pourraient faire de Good Boy une œuvre marquante du genre, prévue pour une sortie limitée en octobre suivie d’une diffusion sur Shudder.