Depuis le début de 2025, une baisse moyenne de 7,9 % a été constatée, le total des ventes restant en dessous d’un million d’unités.
Ce déclin concerne tant les particuliers que les entreprises, à l’exception des loueurs de courte durée, qui affichent une légère augmentation de leurs commandes.
La France connaît l’une des plus fortes baisses du marché au sein de l’Union européenne, juste derrière la Belgique.
Ce ralentissement touche particulièrement les véhicules thermiques, avec des baisses de 34 % et 41 % respectivement pour l’essence et le diesel par rapport à l’année précédente.
En revanche, les véhicules hybrides gagnent en popularité, enregistrant une hausse de 7 % et représentant 53 % des ventes.
Les véhicules électriques, bien qu’en progression de 15 %, restent minoritaires avec seulement 17 % du total, les consommateurs demeurant hésitants face aux préoccupations liées à l’autonomie et au coût.
Après avoir été en tête des ventes en juin, Renault cède la place à Stellantis, qui reprend la première position au cumul des ventes.