D’abord, son design élégant est frappant, avec des lignes fluides et un capot long qui contribuent à son allure athlétique.
Son mécanisme de toit rétractable, qui se plie et se cache sous un couvercle, est également impressionnant et ajoute à son attrait.
Cependant, conduire un SLK peut en décevoir plus d’un ; bien qu’elle soit classée comme voiture de sport, elle manque d’excitation et peut donner une impression de banalité.
Loin d’être une voiture de performance, le SLK partage des composants de la Classe C, ce qui nuit à son caractère sportif.
Même avec une suspension rigidifiée, il ne procure pas une conduite engageante.
Pour profiter pleinement de cette voiture, il vaut mieux opter pour le moteur Kompressor de 194 ch, qui offre des performances acceptables.
À l’intérieur, un rembourrage en cuir noir et rouge peut donner une atmosphère de luxe, bien que l’érosion de la peinture soit un souci courant chez les modèles plus anciens.
En somme, la SLK 1996 est plus une voiture d’agrément qu’une véritable sportive.