Cette initiative se traduirait par l’imposition de tarifs aux entreprises nationales qui ne respecteraient pas un certain ratio de production.
D’après le Wall Street Journal, ce ratio exigerait que les sociétés américaines fabriquent autant de puces localement que celles qu’elles importent.
En cas de non-conformité, des pénalités seraient appliquées, bien que la date de mise en œuvre de cette mesure reste encore indéterminée.
Cette approche, qualifiée d’inhabituelle, pourrait favoriser le retour de la fabrication de semi-conducteurs aux États-Unis, mais elle présente également des risques pour l’industrie locale à court terme, surtout avec le temps nécessaire pour établir de nouvelles usines.
À d’exemple, l’usine d’Intel dans l’Ohio, dont l’ouverture était initialement prévue pour cette année, ne devrait pas commencer à produire avant 2030.
Par ailleurs, Taiwan Semiconductor Manufacturing Company (TSMC) est en train de planifier un investissement de 100 milliards de dollars sur quatre ans pour développer de nouvelles capacités de production aux États-Unis, bien que les informations détaillées à ce sujet soient encore limitées.
Source: IA Tech news