Toutefois, une recherche menée par l’Université de Yale remet en question cette vision pessimiste.
D’après l’étude, qui se base sur des analyses des données d’emploi aux États-Unis, l’hypothèse selon laquelle l’IA engendrerait une substitution massive des travailleurs semble largement infondée.
Les résultats montrent qu’il n’y a pas eu de perturbations significatives dans l’emploi, même parmi les groupes les plus susceptibles d’être affectés par l’IA.
En comparant l’essor de l’IA à des périodes antérieures telles que celle des ordinateurs et d’Internet, les chercheurs observent des tendances similaires sur le marché du travail.
Concernant les jeunes diplômés, l’impact de l’IA sur les niveaux d’entrée est minime.
Les difficultés récentes du marché de l’emploi semblent davantage liées à un ralentissement économique global qu’à l’émergence de l’IA.
Les véritables problèmes trouvent leur origine dans des facteurs macroéconomiques et une inadéquation entre le nombre de diplômés et les offres d’emploi disponibles.
Source: IA Tech news
