Avec son programme « l’Amérique d’abord », le président élu pourrait favoriser les intérêts américains, incitant les investisseurs britanniques à s’adapter à de potentielles nouvelles réglementations et frictions commerciales.
Toutefois, cette orientation pourrait également offrir des opportunités aux entreprises britanniques prêtes à établir des opérations aux États-Unis, en particulier dans le secteur financier, malgré des risques liés à la volatilité et aux changements réglementaires.Les orientations de Donald Trump en matière de réductions d’impôts et de réglementations pourraient impacter le commerce entre le Royaume-Uni et les États-Unis, renforçant le dollar américain et rendant les actifs américains plus coûteux pour les investisseurs britanniques.
De plus, les possibles accords commerciaux préférentiels entre les deux pays pourraient renforcer leur relation, même si le rapport de la Resolution Foundation souligne les risques potentiels pour les entreprises britanniques, notamment en cas de contre-mesures de la Chine.
Ainsi, alors que la présidence de Donald Trump suscite à la fois des opportunités et des défis pour les investisseurs et les entreprises britanniques, une adaptation aux évolutions du commerce mondial semble nécessaire.